Pendant le doux génocide des indiens,
Un colons blancs en rencontra un,
Accompagné de sa femme aux cheveux bruns.
De son fusil, il le menaça,
L'indien le voyant, éclata,
de rire, bien sur, face à c'gros tas.
Le blanc vexer, s'mit à le frapper,
Et l'indien continuait de rigoler.
'Sale indien, vas-tu donc te taire !'
L'indien lui dit : 'continuez, j'en ai rien à faire !'
L'homme blanc, remplit de haine, frappait, frappait,
Et l'indien, sous les coups, riait, riait.
Mais l'indien n'était pas immortel,
Et il mourut en regardant l'homme blanc dans les yeux.
L'homme blanc détourna les siens et aperçus la jolie demoiselle,
Et lui dit : 'j'ai de l'argent, je suis glorieux, j'ai des milliers d'hectares, et de toi je suis amoureux.
Comme son maris, l'indien rit et répondit :
'Ecoute chéris, je ne t'aime pas,
T'es qu'un idiot, t'es qu'un gros un tas,
Et des hectares, j'en ai plus que toi.
Homme blanc écoutes, tu n'auras rien,
Seulement mon sang sur tes grosses mains.'
L'homme blanc vexés, frappa, frappa,
Comme son maris, l'indienne ria, ria. ---> *
Enfin l'homme blanc réussi à l'achever,
Et ce devant ce corps inerte allongé,
Il se rendit compte de sa bétise :
De cette indienne, il était amoureux,
il l'a tué, maintenant il est malheureux.
Il comprit qu'il soit riche, qu'il soit glorieux,
Aux yeux des gens, cela importe peu.
Et toute sa vie, il fut malheureux,
Bien qu'il soit riche, qu'il soit glorieux.
L'argent, la gloire, ne font pas le bonheur,
La preuve, l'homme blanc en meurt.